La méthode NSSR est une des premières découvertes d’Andréa Fernandez Indulsky.
Lorsqu’elle était encore étudiante en médecine complémentaire, sa mère et sa sœur tombent gravement malades. Ne parvenant pas à avoir des réponses cohérentes de la part de la médecine allopathique en Australie, ni pour autant de ses futurs collègues naturopathes, elle décide ainsi de surpasser ses peurs de novice étant encore étudiante pour mettre en place un système pour les aider.
C’est ainsi que la méthode NSSR a vu le jour.
Avec des résultats incroyablement rapides pour leur problématiques, Andréa a affiné cette méthode une fois obtenu son diplôme de médecin naturopathe. Toujours avec des résultats étonnant, l’efficacité de cette méthode lui a rempli ses cabinets en Australie en Italie et en France pouvant vivre uniquement de ce métier depuis bientôt 20 ans.
C’est simple !- dit Andréa.
La clé est de ne pas donner des probiotiques mais de nettoyer le bordel de leur appareil digestif. C’est impossible que deux ou sept souches de probiotiques puissent nettoyer des centaines voire des milliers d' amibes, de parasiter/vers, de bactéries ainsi que d’ autres virus intestinaux. C’est trop simpliste pour un microbiote dont on connait à peine. Tant que l’on ne sait pas répliquer la mitochondrie pour produire 300 ans d’énergie gratuitement, retenons-nous de donner à la cellule ce dont elle a besoin pour qu’elle fasse ce qu’elle sait faire de mieux : son boulot magnifique, dit Andréa.
Voyons la signification des sigles de cette méthode :
N- Nettoyer
S- Sceller
S- Soigner
R- Réparer
On commence tout traitement par un nettoyage de tout l’appareil digestif nous assurant que la bouche est assainie. Une bouche pleine de bactéries va mastiquer la nourriture et va envoyer les bactéries plus bas dans la tuyauterie digestive. Il ne sert à rien de nettoyer plus bas quand plus haut c’est la catastrophe. Des substances spécifiques sont utilisées pour assainir l’appareil digestif.
La même chose s'applique pour déceler la présence pathogénique.
Les analyses classiques de sang ne peuvent toujours pas parvenir à déceler les pathogènes. C'est ainsi que la mémoire de son ADN diluée dans l'eau s'avère d'ultime importance pour les retrouver. Parfois, la microscopie au champ noie, au champ clair, contraste de phase et sang coagulé nous donnent aussi pas mal de réponses. Andréa trouve que le mélange des deux est "magique".
On doit sceller les barrières qui sont la base de notre système immunitaire précédant l’immunité innée et adaptative. Si les barrières sont perméables, les bactéries peuvent se balader librement dans le corps.Si elles se baladent dans notre corps elles déclenchent librement des réaction immuno-inflammatoires. Vous voyez de ce dont je parle.
La suite, il s'agit de soigner les muqueuses. Des polymorphismes de la fucosyllactose (FUT2) sont présents dans 20% de la population caucasienne. La présence des mucines génère de bon velcro d’accroche pour le développement des bonnes bactéries, la lutte contre les mauvaises et l’élimination des biofilms.
Avec le polymorphisme génétique chez les caucausies, on trouve 20% de la population caucasienne souffrant d'absence de "bon velcro"/ FUT2 pour l'accrochage des bonnes bactéries. Chez ces individus, la prise de probiotiques serait totalement inutile car comme ils sont pris, ils iront nourrir les rats dans les égouts de leur quartier. Un complément alimentaire qui s'avère cher quand on connaît sa fin en présence du polymorphisme bien entendu.
Les biofilms ne sont que des films bio-logiques qui retiennent les mauvaises bactéries sous une matrice de cellulose. En gros, c’est le cache-cache de bactéries. Elles sortent et rentrent quand bon leur semble et cette couche de cellulose empêche les produits phyto-aromathérapiques de bien fonctionner. D'où les "échecs" de traitements. Du coup, il ne s'agit plus d'échecs ni des réactions Herxheimer mais des biofilms. Les prendre en charge devient primordial pour que le reste du corps fonctionne bien.
Réparer le système immunitaire intestinal et le déclenchement immuno-inflammatoire systémique.
C’est très important de contrôler le déclenchement de l’inflammation systémique par NFkB, les cyclo-oxygenases et lipo-oxygenases. L’inflammation doit rester ponctuelle, contrôlable dans le temps pour éviter une chronicisation des symptômes évitant ainsi le développement des maladies chroniques.
Andréa FERNANDEZ INDULSKY Australian Naturopathic Dr
Cette méthode est la base de l'enseigment de l'académie de formation en Biologie Nutritionnelle et Fonctionnelle.
Toutes les connaisances sont données pour pouvoir pratiquer cette méthode.
Les formations sur la méthode NSSR® sont disponibles en ligne et en présentiel dans notre centre de formation.